
Comme d’habitude, de tout un peu et surtout dans le désordre…
Une image de printemps
Un proverbe
Chi va piano va sano
L’équivalent est « Qui veut aller loin ménage sa monture »
un aphorisme de René Char
L’essentiel est sans cesse menacé par l’insignifiant
Quelques paroles d’une chanson de Joan Baez
She’s tired of her lover
And she thinks he ought to know
But it’s hard to find the words to say
It’s time for me to go
Un poème de Jules Supervielle
Je bats comme des cartes
Malgré moi, des visages,
Et tous ils me sont chers.
Parfois l’un tombe à terre
Et j’ai beau le chercher
La carte a disparu.
Je n’en sais rien de plus.
C’était un beau visage,
Pourtant je l’aimais bien.
Je bats les autres cartes.
L’inquiet de ma chambre,
Je veux dire mon coeur,
Continue à brûler
Mais non pour cette carte,
Q’une autre a remplacée.
C’est un nouveau visage,
Le jeu reste complet
mais toujours mutilé.
C’est tout ce que je sais,
Nul n’en sait davantage.
Et enfin un article:
- un roman de Julian Barnes : Arthur et Georges
Ainsi que la suite du feuilleton: mots d’enfants
Sans oublier les ajouts dans la rubrique Loisirs et sorties